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Titre du blog : La brocante virtuelle et la poésie
Auteur : Milort
Date de création : 01-11-2012
 
posté le 24-03-2014 à 17:15:22

Lettre d' un chien à son maître, suite et moralité

  

     

 

    LETTRE A MON MAÎTRE, suite et moralité

 



Ce matin là, tu étais déjà debout, tu faisais tes valises, tu as pris ma laisse. J’étais très content, une petite promenade avant les vacances.


On est parti en voiture, tu t’es arrêté au bord d’un bois, la portière s’est ouverte, tu as lancé un morceau de bois, j’ai couru, couru je l’ai attrapé


Mais quand je suis revenu, tu n’étais plus là. J’ai couru dans tous les sens pour te retrouver, mais ce fut en vain.


De jour en jour je m’affaiblissais. Un homme s’est approché de moi, m’a mis une laisse et je me suis retrouvé en cage. C’est là que j’ai attendu ton retour, mais tu n’es jamais venu.


Un jour, la cage s’est ouverte, ce n’était pas toi, c’était cet homme qui m’avait ramassé, il m’a conduit dans une pièce qui sentait la mort. Ma dernière heure était venue.


Cher maître, je veux que tu saches que malgré ce qu tu m’as fait, c’est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir et si je pouvais revenir sur terre c’est vers toi que je courrais, car je t’aimais bien.


 Heureuse suite....


Plein de remords d' avoir abandonné un compagnon aussi fidèle,

son maître, regrettant son geste, est venu le rechercher, lui prodiguant de nombreuses caresses, promettant qu' il resterait toujours près de lui et serait aimé et adulé jusqu' à son dernier jour. Tout heureux, le toutou courut vers son maître, lui prodiguant de nombreux mouvements de joie.

Il avait déjà oublié le temps de sa détresse.

 


Moralité.

Ceci est une histoire bien banale, qui finit certes très bien, mais combien d' actualité. Le chien est un animal très fidèle à son maître, respectez le donc, et profitez de son amitié en le rendant toujours heureux, avec des caresses et des mots gentils, comme lui l' est vis à vis de vous.

L' abandonner sans ressource est intolérable, et ne lui faite pas ce que vous ne voudriez pas que l'on vous fasse.



A méditer pour que jamais plus cela n’arrive.

 

Milort