Extrait d' un livre ''Pobel et Trotsi '' édité chez Editlivre de Paris et suite de mon précédent article
Nous espérons que Maélick allait pouvoir nous trouver le moyen de traduire ce qu' ils nous disaient, mais il me signala qu' il n' avait aucune base de traduction, mais avec de la patience et avec des choses courantes il devait réussir..... avec un peu de temps.
Pour essayer de comprendre quelques mots au début, j' utilisai un de mes dons, je regardais un arbre le montrait à un indigène et lui me donnait, sans le vouloir le nom dans sa langue de cet arbre en l' occurrence dans ce cas ''ouch'', je pensais qu' il était joli, et lui me répondit ''bel'', j' avais deux mots que je donnai à Maélick qui les entra dans son petit traducteur, et au bout d' une heure de cette recherche, nous avions un peu de vocabulaire de ces indigènes Comme je me rendais bien compte que nous n' aurions aucun problème avec eux, j' ordonnai à Oronor, de venir se poser sur la plage afin que le personnel puisse se détendre et respirer l' air doux et parfumé de cette planète.
Bien sur le personnel de garde ne pouvait quitter le vaisseau et rester sur le qui vive au cas ou un problème survenait, ne fut ce que les étoliens, que nous n' avons jamais rencontré... jusqu'à maintenant.
Milort
La suite dans un prochain article, dans quelques jours
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