JOYEUX NOEL MAMAN
J' aime beaucoup ma maman,
O n dit qu'elle a de beaux yeux,
Y oung et coquette, avec des choix heureux
E t je crois que ce coquin de cadeau
U ne fois, habillera délicieusement ton corps.
X énophobe, tu ne l'est certes pas encore
N ana, oui mais tu restes ma maman
O n n'oublie pas sa nana de maman
E t pour Noël, ce sera chic maman
L à apprécie donc ce cadeau charmant
Ecrit pour une petite fille, pour la Noël de sa mamn décembre 2012
Les progrès en cellules souches ont été rapide, après que le professeur
Yamanaka Shinya de l'université de Kyoto, qui avait réussi à produire des cellules
souches à partir de cellules somatiques d'adultes. Ce fut d'ailleurs « la découverte
de l'année « que Science et Vie a publié en 2008.
Grâce à cela, et avec mes cellules, on recréa des cellules souche
qui furent réintroduites dans mon cerveau, qui recréa de nouveaux
neurones et gliales nécessaires au bon fonctionnement de mon cerveau.
Les diverses opérations se passèrent en trois mois à peine, et ma
convalescence commença, avec diverses expériences, qui laissèrent
toute l'unité du bloc opératoire sidéré par ce qu'ils constataient,
En effet, je lisais dans les pensées de ceux qui m'approchaient, je savais
les questions qu'ils allaient me poser, et je leur donnais la réponse avant
de me poser la question. Et ce n'était que le début
d'une série de dons que personne n'avait prévu.
Si au début, je ne pouvais lire dans le cerveau de mes visiteurs que
quand ils étaient à quelques mètres de moi, une semaine plus tard
en visualisant la personne dans mon esprit, je lisais ses pensées à des
milliers de kilomètres. C'était fantastique.
Neuf mois après mon accident, je pus sortir de l' hôpital, et ma première
pensée fut d'aller me recueillir sur la tombe de Mia.
C'est en revenant de cette pieuse visite, que je m'aperçus d'un autre don.
Je traversais le bois pour revenir à la maison, et sur le chemin un
gros arbre était tombe sur ce petit chemin qui louvoyait dans la forêt.
Je me disais que c'était malheureux pour l'arbre mais, en riant,
je pensais qu'il aurait pu tomber le long du chemin et pas au
travers du chemin. A mon grand étonnement, l'arbre se mit à bouger
et tourner en se mettant parallèle au chemin, me laissant la voie libre
pour continuer mon retour. Quel était donc ce nouveau don ?
Je vis une branche d'arbre par terre, et je pensais fortement à ce qu'elle
se déplace de l'autre côté du chemin. A ma grande stupéfaction, à peine
ai-je eu cette pensée que la branche était de l'autre côté de ce sentier.
A la maison,je m'empressai de raconter à mon père le résultat de cette
nouvelle expérience.
Il fut surpris et nous tentâmes d'autres expériences, c'est ainsi que
je pouvais déplacer tous les objets, et personnes d'une distance à une
autre et si nécessaire relâcher l'emprise ce qui redonnait à la chose
son poids habituel et de ce fait retombait par terre. Que ce soit
une plume ou un camion, le résultat était le même. Le poids
ne semblait pas être une difficulté, de même que la masse de la chose.
Mon père me demanda de penser fortement a un déplacement de moi même
d'un coin de la pièce à un autre coin. Je fermai les yeux en pensant
fortement à ce qu'il me demandait, je ne sentis rien et je pensais
que c'était raté, mais en ouvrant les yeux je me rendis compte
que j'avais changé de place,Mon père m'appris que il m'a vu d'un côté
puis que j'avais disparu, et en se retournant m'avait vu dans l'autre
coin de cette pièce, cela s'était fait sans bruit et instantanément
Je n'avais rien senti et ne m'était rendu compte d'aucun changement
de place.
Je lisais dans la pensée des personnes, je faisais voyager des objets, ou des
personnes, et je pouvais changer de place instantanément, que de
changements depuis mes différentes opérations du cerveau.
A suivre
Milort
Courriel: milort@live.be
J’étais heureuse de savoir que dans quatre mois j’allais
enfin prendre mes premières leçons de pilotage, et cela me rendait
joyeuse d’ y songer
Enfin les cours reprenaient, et comme prévu je suivais
facilement les deux programmes que je désirais réussir en même temps.
Je trouvais ces études tellement faciles que je me mis à suivre les cours
de physique.
Je comprenais difficilement comment était facile tous ces cours,
alors que mes compagnes se plaignaient des difficultés qu’elles avaient
à comprendre tout le cours.
Je me demandais si mon père n’y était pas pour quelque chose
dans la facilité avec lequel je réussissais en étude tout ce que je voulais
réaliser.
En avril 2044, je pus commencer mes cours de pilotage d’avion,
J’étais très contente, et ma première sortie, avec mon moniteur, fut
un sentiment de joie de me retrouver dans un poste de pilotage, d’un
petit avion, certes, mais pour la première fois j’ai pu prendre le manche
à balai et le conduire, selon ma fantaisie, en haut à droite, à gauche, bref
ou je voulais. Mais l’heure passa très vite et il fallut atterrir. Ce fut une
heure de pure bonheur, j’étais très enthousiaste à l’idée de recommencer
la prochaine fois.
En juin ce fut les examens et je fus acceptée dans l’année suivante
dans tous les cours ou je m’étais inscrite et ce avec la plus grande distinction.
En outre depuis une semaine je pouvais piloter mon avion
toute seule le décollage et l’atterrissage n’avait plus beaucoup de secret
pour moi, du moins en ce qui concernait celui ou j’avais appris.
J’allais entamer mon apprentissage en vol de nuit, et ensuite
de vol avec passagers.
Mon apprentissage en vol de nuit prit 3 mois, car il y avait
beaucoup de choses à connaître en théorie et bien sur à appliquer
durant le vol, mais fin août, je pouvais m’envoler la nuit au milieu
des étoiles. Je nageais dans le bonheur.
L’année universitaire allait recommencer et je voulais terminer
mes études le mieux possible.
Elle passa très vite et je réussis tous les examens en juin 2045.
Grâce à tous mes diplômes, je pus entrer à l’école des astronautes, car c’était
le métier que j’avais choisi, me retrouver au milieu des étoiles était un
pur bonheur pour moi.
Il y avait peu de femmes pour ces études, et je me suis retrouvée
au milieu de tous ces jeunes gens, avec quand même une autre demoiselle
qui comme moi, avait choisi ce métier. Les cours n’étaient pas trop difficiles
et j’aidais le mieux possible celle qui allait devenir ma meilleures copine,
et qui avait plus de difficultés que moi pour suivre tous ces cours.
Les garçons nous surpassaient en éducation physique, car les exercices
étaient les mêmes tant pour les garçons que pour les filles, et là ma copine
était plus forte que moi, et elle m’aidait beaucoup. Bref on s’entraidait
et de ce fait on sortit la première année dans les 5 premiers, j’étais la 3eme
et Mia la 4 eme. Nous étions très heureuse toutes les deux.
Comme l’université était loin de mon domicile, je logeais
dans un kot, ou nous passions souvent d’agréables soirées avec mes copains et copines jusqu’à parfois tôt le matin. Évidemment ce n’était pas chaque fois chez moi, que se passaient ces soirées, et heureusement car la soirée finie il fallait nettoyer et remettre tout dans un état acceptable, …….mais on s’entraidait.
Les examens de Noël se terminaient, et nous étions tous
heureux de rentrer chez nous pour les fêtes de fin d’année et surtout de Noël, qui était une fête de famille, et qui se passait chez nous avec mes grands parents, mes oncles et tantes. Nous allions être 14 autour et de la table familiale et du sapin.
La fête de Noël était pour nous une grande fête, copiée
sur « merry chrismas « anglais, car mon père y avait passé quelques années et avait gardé de ce fait les idées anglaise, maison très décorée, grand sapin, ainsi que la table, qui était revêtue de ses plus beaux couverts et de ses plus belles fleurs/.
Le pied du sapin était jonché de cadeaux, des petits et
des plus gros le nom du ‘’ from ‘’ et du ‘’to ‘’ était bien net sur chaque emballage. Mais avant la distribution, il y avait le dîner du soir avec des sandwichs, le boudin, le pâté, et diverses charcuteries qui faisait les délices des participants. Les conversations étaient très animées et les sujets très variés, mais souvent fort intéressants.
Bientôt l’heure de déballage fut arrivée et comme
J’étais la plus jeune ce fut à moi de distribuer les cadeaux, ce fut long mais très agréable de donner un peu de bonheur à tous.
Quand tout fut distribué, chacun s’empressa d’ouvrir son, ou ses paquets, beaucoup n’en avait qu’un mais moi j’en avais reçu plusieurs et il me fallut un peu de temps pour m’extasier surleur contenu.
Le lendemain c’était le jour de Noël, et le dîner était,
comme chaque année succulent. Des crustacés en entrée, un consommé de tortue, ( très rare ) de la dinde, avec des croquettes, légumes divers, et une bûche en dessert.
Les conversations étaient nombreuses, et tous les sujets
étaient abordés. Mon père s’entretenait avec son frère sur le sujet qui le passionnait, le cerveau, et élaborait de nombreuses hypothèses sur ‘’ l’ effet papillon ‘’ ( le fait de revenir en arrière dans le temps et de changer un détail de l'existence ,ce qui pouvait provoquer de grand bouleversement dans le futur) affirmant qu’en changeant certains neurones et synapses il devrait y avoir des facilités pour engendrer certaines possibilités et ce pour des sujets déjà un peu prédisposés.
Bref la soirée se passa très vite, malheureusement, et
la nuit venue, chacun s’en retourna vers son chez soi.
Noël, c’était passé, le nouvel an s’approchait, et j’étais
invitée chez des amis et amies à passer le cap de la nouvelle année en dansant et chantant au milieu des confettis et des cotillons.
Je revins à la maison, les yeux brillant de cette belle
nuit passée avec mes copains et copines et regrettant que tout était fini mais je savais que tout recommencerait à la fin de cette nouvelle année. 2
A suivre
Milort
courriel: milort@live.be
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