La brocante virtuelle et la poésie

Ce qui pourrait intéresser les internautes

posté le 13-03-2013 à 17:39:27

Inès femme de l' espace 11


 kilomètres carrés chacun.

Ils étaient desservis par 10 ascenseur dont huit pour le

personnel et deux plus grands pour le matériel nécessaires

aux recherches et au bien être des occupants,

Dès mon arrivée, je regagnai mon petit appartement

situé au 21 et dernier étage du quartier résidentiel, celui

occupé par tout le personnel naviguant, et les présidents

et leurs conseillers. Je pris connaissance

des différents travaux qui m' incombaient pour

les jours suivant. Je réfléchissait à mon puvlar trouvé

dans le désert et je cherchai, en pensée, ce que les

chercheurs auraient pu trouver sur cette étonnante

plante. Il m'a semblé comprendre que l'un de ceux ci

aurait observé qu' elle paraissait être composée

de milliers de fils, et qu' il avait l' intention de

tirer un fil et de l' analyser.

Dès le lendemain, je me suis connecté à ce chercheur,

et comme il l' avait suggéré, il avait tiré deux fins fils de

la feuille de cette plante et les avaient placés sous un dôme

refroidit à moins cinquante degré centigrade. Il observait

alors cette prodigieuse transformation, chacun des deux fils

se divisaient en deux, et une seconde plus tard, chacun des

' fils se redivisaient à nouveau en deux, et toutes les secondes

les fils se divisaient en deux. S' il n'arrivait pas à enrayer

ce processus, son labo allait être envahit par des fils de cette

plante. Il eut une idée rapidement, c' était de réchauffer

l' intérieur du dôme, et miracle, le processus de dédoublement

s' arrêta immédiatement. Il recommença l' expérience et

refroidit l'ensemble à moins dix degrés centigrade

et le processus recommença mais très lentement de l'ordre de

un dédoublement toutes les trois ou quatre minutes.

Il laissa deux fils sous le dôme et fit chauffer le paquet de fil,

d' environ cinq kilos, et cet ensemble forma une pâte

visqueuse comme du miel liquide.

Quel pourrait être l' utilité de cette masse ?

Je devais attendre car il était tard et ce chercheur ,

allait se coucher. J' aurais voulu savoir, car j' avais

une petite idée de sa future utilité. Puisqu'il lui fallait

du froid pour ce développer, et que la chaleur ne la

détruisait mais la mettait en léthargie, et que rien ne la

détruisait, du moins à notre connaissance actuelle,

on pourrait en aplanir un morceau, la placer devant

quelque chose, et chauffer avec une flamme et constater

comment se comporte , et le morceau plat, et ce qui était

derrière.

J' envoyai cette idée au chercheur au moyen du vidéophone

dont chaque appartement était équipé.

Il y avait d' autre moyens de communication, que cet antique

appareil, mais on s'en servait encore. Lé téléphone et GSM

n' existait plus, on avait trouvé le moyen de se parler avec

n' importe qui sur terre, avec le ''couteur'', c' était un petit

appareil de trois cm² et très plat, environ un demi centimètre         11

 


 
 
posté le 08-03-2013 à 22:14:26

Inès ( femme de l' espace 10 )


 
 

 Mes congés se terminaient et j' allais retourner

vers mes chers engins spatiaux.

La '' Cité des étoile '' se trouvait dans le désert d' Atacama

au Chili, d' une superficie approximative de 100.000 km ².

C' était à cet endroit que se trouvait les hautes sphère de l' aérospatial .

Cet endroit avait été choisi parce que c' est un désert d' abri, coincé

entre la fosse océanique d' Atacam et la cordillère des Andes.

Il est situé dans le nord du pays dans la région

de Antofagasta et le nord d' Atacama. La variation des température était

faible de l'ordre de – 5 à -10 à 25 -30 ° C. C' est sans doute le désert

le plus aride et le plus sec au monde car la moyenne est de 0,8 m/m

d' eau par an. Son sous sol est riche en minerai de cuivre et de fer.

Il est traversé en partie par le fleuve Rio Loa, sur une longueur

d' environ 115 km, celui ci prenant sa source aux environs

d' Ollagüe au pied du volcan Mino, à plus de 4000 m d' altitude.

C' est d' ailleurs le plus long fleuve du Chili avec ses

440 kilomètre de long, il reçoit plusieurs affluents

avant de terminer sa course dans l' océan Pacifique .

Le rio Loa a un débit très faible, étant donné les régions

désertiques qu' il traverse, mais cela ne l' empêche pas

de former d' importantes oasis, tout le long de son parcours.

Suite à des accords passés avec presque tous

les pays, tous le savoir recueilli par n' importe

quel ethnie arrive à cet endroit, et chaque pays payait

un écot, suivant ses possibilités, pour la recherche spatiale.

Le monde était d' ailleurs régi par un gouvernement mondial,

à la tête duquel on trouvait trois présidents , dont le siège

se trouvait dans la cité. Ils étaient assistés par 25 conseillers

dont le but était de présenter des projets aux présidents,

qui en conscience les acceptaient ou les refusaient.

Présidents et conseillers étaient remplacés par tiers tous les ans.

Ils pouvaient être réélus. Mais leur situation n' était pas

très enviable, car ils étaient assignés à résidence, avec leur

famille, et leur traitement était peu élevé. Toutefois, ils

avaient droit à des '' bonus '' quand une loi était approuvée

et qu' elle donnait satisfaction au monde entier. Et cela

arrivait

La cité était construite en partie sous la cordillère des Andes.

On y trouvait les appartements du personnels, les bureaux,

les ateliers, les labos de recherche, les restaurants, les endroits

de loisir, des jardins, des piscines,... bref tout ce qui peut faire

le confort de l' humain.

Le tout était protégé par des systèmes électronique qui

commandaient des portes, des vantails, et surtout

par un nouveau système de protection par onde, et

qui protégeait, comme un dôme inviolable, toute la cité.

En dehors de la cité, et dans le désert même, de grands

bâtiments abritaient les vaisseaux , et leurs constructions.

Leur superficie atteignait environ 25,000 Km²

La cité des étoiles était construite comme dit plus haut,

sous la cordillère des Andes et comprenait 31 étages de deux 10
 
A suivre
Milort
 
Si vous désirez en savoir plus, demandez moi, des pages suivantes à
     milort@live.be  
 


 
 
posté le 08-03-2013 à 22:07:39

Lettre à mon maître


LETTRE A MON MAÎTRE



Ce matin là, tu étais déjà debout, tu faisais tes valises, tu as pris ma laisse. J’étais très content, une petite promenade avant les vacances.


On est parti en voiture, tu t’es arrêté au bord d’un bois, la portière s’est ouverte, tu as lancé un morceau de bois, j’ai couru, couru je l’ai attrapé


Mais quand je suis revenu, tu n’étais plus là. J’ai couru dans tous les sens pour te retrouver, mais ce fut en vain.


De jour en jour je m’affaiblissais. Un homme s’est approché de moi, m’a mis une laisse et je me suis retrouvé en cage. C’est là que j’ai attendu ton retour, mais tu n’es jamais venu.


Un jour, la cage s’est ouverte, ce n’était pas toi, c’était cet homme qui m’avait ramassé, il m’a conduit dans une pièce qui sentait la mort. Ma dernière heure était venue.


Cher maître, je veux que tu saches que malgré ce qu tu m’as fait, c’est ton image qui me revenait avant mon dernier soupir et si je pouvais revenir sur terre c’est vers toi que je courrais, car je t’aimais bien.



A méditer pour que jamais plus cela n’arrive.

Milort

 

Courriel:  milort@live.be 


 


 
 
posté le 28-02-2013 à 15:46:12

Inès (femme de l' espace 9 )


 On prit un bidon d'eau vide, on y mis la plante dedans,

laissant dehors la tige, et on remplit le bidon de sable, pour

redonner à la plante le substrat dont elle avait besoin.

Au terme de cette méharée, des véhicules nous

attendaient pour nous ramener à Tamanrasset, et de là

chacun reprenant sa route pour retourner chez lui. Nous

avions faits des adieux à nos chameliers, et nous étions fiers

de cette extraordinaire randonnée.

De retour à Zeport, je présentai ma plante

glacée à mon père, elle n'avait pas changé, toujours

aussi belle, et fraîche mais glacée,

Quel était donc cette plante si mystérieuse ?

Présentée à un spécialiste de plantes tropicales celui ci

avoua son incompétence sur le nom à lui donner. Il

n'en avait jamais vu, ni entendu parler. Il consultât

des confrères, sommités dans ce domaine, mais aucun ne

put nous éclairer sur cette mystérieuse plante,

Elle était toujours glacée et droite sur sa tige, sans aucun

flétrissement.

On décida de chercher le pourquoi de cette glaciation.

On coupa une feuille de la tige, et on la plaça dans un frigidaire

ou la température moyenne était de moins six degrés Celsius,

Elle y resta 24 heures . On ouvrit l’appareil et on constatât

que la température était descendus à moins 36 degrés Celsius,

soit six fois plus froid que la veille, et la feuille était toujours là ;

bien fraîche sans aucune altération, Mieux même la plante

mère avait refait une nouvelle feuille identique a celle enlevée,

et qui remplaçait celle que l' on avait coupée,

On repris la même feuille, et l'on y laissa tomber

une goutte acide chlorhydrique pure, cette goutte se transforma

instantanément en glaçon, et roula sur le côté de la feuille,

On essaya de la bruler avec la chaleur d' un

bec bunsen, malgré la chaleur, elle restait fraîche et toujours

glacée.

On constata également qu' elle ne conduisait

pas le courant électrique et était de ce fait un parfait isolant.

Des chercheurs, envisageaient déjà toutes les

possibilité de cette plante, si on pouvait la reproduire,

ou en connaître la molécule qui permettrait de l' utiliser

dans beaucoup de domaine. Réduite en pâte ou en sirop,

on pouvait enduire des vêtements, et les porteurs seraient

protégés de la chaleur, de court circuit électrique, des acides.

Et sans doute avait elle d' autre propriétés qui pouvait servir

dans les véhicules terrestre, navals et peut être dans l' aérospatiale.

Cette plante que nous avons appelé le ''puvlar'' fut

envoyée dans un laboratoire très renommé, spécialisé dans le

domaine de plantes exotiques. Mon père promit de demander

régulièrement des nouvelles de notre ''puvlar '' .

Je ne savais pas encore que les extraordinaire

possibilités de cette plante allait servir dans une foule de

domaine dont l' aérospatiale,                                                           9

 

Milort

 

à suivre 

Si vous désirez connaître la suite, la page 10 est terminée.

Dans ce cas, demandez là à    milort@live.be 

en mentionnant votre prénom et votre adresse courriel. 

 


 
 
posté le 20-02-2013 à 22:31:51

Inès femme de l' espace ( 8 )


 

 Il y a déjà une heure que nous ''voguions'' balancé par

la lente marche de nos montures.Le ciel était bleu sans nuage, et la

chaleur nous envahissait, mais nous étions quand même protégé

par nos burnous en laine. Nous avions de la chance, il n' y avait

presque pas de vent.

Le repas du midi se fit à l' ombre d' un gros acacia, et après la

séance de thé, la sieste est de rigueur, laissant filer les heures

les plus chaudes du climat saharien,

Le deuxième jour, après une nuit, assez froide, le réveil se fit

à l' aube et après le petit déjeuner nous avons admiré la manière

rapide et efficace de nos chameliers qui s' activaient à achever le

chargement. Nous partîmes à pieds avant la caravane, profitant

de la fraîcheur matinale. Les gorges sont verdoyantes, l' eau

n' est pas loin et parfois même affleure.

Déjà cinq jours sont passés, nous avions dépassé la montagne

d' Ayeloum,haute de plus de 800 m, elle constitue d' ailleurs un

phare pour les caravanes, et à midi,nous débouchons dans la gorge du

Tanaout, et établissons notre camps bivouac pour la nuit.

L' eau était à 100 m . Les chameaux assoiffés se bousculent autour

de cet abreuvoir. Quand enfin, au bout d'un demi heure ils furent

abreuvés, et l'eau étant bien claire nous remplîmes nos bidons avec

300 l d'eau.

Demain nous allons traverser les ''grands oueds '', pendant

100 km et atteindre le Tassili du Hogar, but de cette méharée.

Les grands espaces sont derrière nous et nous suivons la

piste caravanière sur le rebord tassilien, qui nous mène à l' oued

In Abeggi avec ses pâturage et son puits. L' eau, bien très précieux,

est abondante, et nous pouvons étancher notre soif à volonté,

Nous avons continué notre route, qui devait nous amener le

lendemain à Taguelman Smerdet, qui était le terme de notre

aventure saharienne, c'est alors que du haut de mon chameau

je vis, au milieu de ce sable brulant, une tige verte qui poussait.

Je fis coucher mon animal et m' approchai de cette plante,

Elle mesurait 50 cm et avait des feuilles lancéolée de couleur

vert jaune, qui se trouvaient de chaque côté de la tige qui avait

un diamètre de 5 cm. Je la touchai du doigt, elle était glacée.

J' appelai le chef des chamelier et lui demandai quel était

cette plante, il ne savait pas, il n'en avait jamais vu auparavant,

Un plante verte, glacée au milieu d' un sol de sable brûlant,

cela aiguisait mon appétit de savoir. Dans un rayons de 10 m²

on en trouva trois, et aussi loin que portait nos regards nous

n' en voyons plus.

Le chamelier me demanda si cela m' intéressait de

repartir avec cette plante, je répondis par l' affirmative.

Avec sa tannemast, il creusa autour de cette plante, et il tira

très légèrement, mais elle résista, il creusa plus profond,et

finalement la plante se déterra avec un racine pivotante de

plus de 2 m, mais elle était cassée, donc elle devait s'enfoncer

encore plus profondément dans le sol. On ne savait pas la tenir

en main car elle nous brûlait, tellement elle était froide, glacée

même.
 
A suivre 
 
Milort
 
Courriel: milort@live.be 
 


 
 
 

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